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Mais quelle horreur

Feuille de personnage
Stade de paranoïa: Zero
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Énora Miller
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Énora Miller



Dim 7 Juin - 14:11
T'es là, assise. Tu contemple l'horizon. Le ciel bleu au-dessus de ta tête te file doucement des frissons alors que le vent souffle doucement dans tes cheveux. Tu soupire, lasse. Tu sais que tu devras protéger la petite et y laisser ta vie, s'il le faut. Avec le meurtre du gamin, t'as maintenant peur pour la vie de ta protégée. Tu sais plus quoi faire. T'hésite entre laisser tomber ton boulot ou le prendre encore plus au sérieux et coller au basque de la gamine comme un chewing-gum sous la semelle d'une chaussure.

Tu grogne, dubitative. Tu penche la tête d'un côté et de l'autre, réfléchissant doucement à la situation. Tu sais que bientôt, des choses vont se passer. Comment tu le sais, tu l'sais pas, mais t'en as conscience. T'es consciente que ce meurtre, c'était pas un meurtre isolé. Trop de coïncidence avec le meurtre du jeune Alex. Tu grimace parce que même les policiers l'ont pas remarqué. Ils n'ont pas vu les similitudes. Mais toi si. Et t'es là, avec cette prise de conscience, essayant de te dire de pas te bouger, que tu risque de te faire rire à la gueule et de te voir fermer les portes du commissariat. Sauf que tu sais pas quoi faire. T'as envie de leurs dires. Mais t'as aussi envie de les envoyer chier, de fermer ta gueule et de t'occuper seulement de ceux ayant réellement envie de savoir ce qui se passe.

La police se fou de la situation, ils veulent juste pas que la panique monte de trop et c'est pour ça qu'ils réagissent comme ça. Tu le sais, t'en es consciente. Tu soupire de nouveau et tu t'étire doucement, tes os craquants dans un bruit satisfaisant. Tu grogne en te massant la nuque et tu baisse le regard vers le sol. Se faisant, t'aperçois une personne au loin. Tu sais pas encore qui c'est, alors tu t'en occupe pas trop. Après tout, qui dit qu'elle va venir vers toi ?
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Sofia Schleck
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Sofia Schleck



Dim 7 Juin - 15:56
Aujourd'hui c'est dimanche, tu aimes et détestes ce jour à la fois, car c'est un jour tranquille, pas de boulot, mais cela veut dire que demain, il va falloir y retourner, et parfois tu n'as pas envie que cela arrive. Pourtant, tu adores ton métier, tu adores travailler le bois, tu n'es pas ébéniste par défaut, non, tu aimes ça. Mais c'est étrange, parfois tu te dis que tu aimerais changer du tout au tout, devenir quelqu'un d'autres, et puis tu trouves cette idée grotesque, qu'est ce que tu pourrais bien faire ? Difficile à dire en vérité, mais tu y penses parfois. Ton esprit aime se balader loin de ton corps, comme si finalement, tu faisais une projection astrale au dessus de toi, pour que ton esprit se balade dans la maison, dans les alentours, alors que toi, tu es assise tranquille dans ton rocking-chair et que tu lis un livre, ou regarde une vidéo sur ta tablette, parfois tu tricotes un peu, comme une grand-mère avant l'âge. Mais tu es mariée, tu ne finiras pas vieille fille, heureusement, du moins en théorie, ce serait bête qu'il arrive quelques choses à ton mari, n'est ce pas ? Oui, tellement, et que dire de ton fils ? Tu le surveillais comme le lait sur le feu, tu restais toujours ou presque dans la même pièce que lui, alors depuis le meurtre, tu ne cesses d'agir de la sorte, un réflexe devenu important à tes yeux. Alors, tout ce que tu fais, tu ne le fais que d'un oeil, l'autre étant sur ton enfant. Il est encore si jeune qu'il ne voit le mal nul part. Tu aimerais pouvoir revoir le monde de la même façon que lui, mais ce n'est plus possible, le vice s'est immiscé en toi, ton esprit forcément voit le mal partout, et encore tu es une femme. Ton mari est bien plus vicieux que toi, tu t'en rends compte chaque jour un peu plus même si au fond ça ne te dérange pas plus que ça, mais il fait de plus en plus de réflexion tournant autour de sa ceinture. Tu aimes t'amuser de ça, mais parfois il en fait trop. Tu as laissé le petit avec papa pour une petite balade dans le parc. Ces messieurs n'avaient pas envie de sortir, alors tu les as laissé entre eux durant quelques minutes, histoire que tu puisses prendre l'air, et qui sait, peut être trouver à discuter. Il n'y a pas tellement de monde, comme s'ils avaient peur, raison pour laquelle peut être inconsciemment, tu as voulu te balader seule, laissant le petit à la maison. Alors tu siffles légèrement, comme pour briser le silence qui se fait autour de toi alors que tu arrives près de cette jeune femme et tu lui souris.

" Bonjour "

Entré en matière basique pour attirer son attention alors que celle-ci semble ailleurs, elle semble elle-même ailleurs, dans un autre monde, une autre planète mais peut être que c'est toi qui interprète les choses de cette façon après tout. Peut être qu'elle te guette depuis quelques instants, peut être qu'elle voulait te parler, peut être qu'elle est là pour chercher une confidente, peut être que sans t'en rendre compte, elle va vouloir te tuer, qui sait ? Les apparences sont trompeuses, terriblement trompeuses, que pourrait-il se passer ?
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Énora Miller
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Énora Miller



Mar 30 Juin - 0:08
T'es assise pépouze et soudainement, t'entends quelqu'un venir vers toi. Tu fais mine de rien et, comme si t'avais rien vue, tu lève pas la tête. C'est lorsque soudain t'entends une voix féminine que tu relève les yeux vers ton interlocuteur. Une femelle, à n'en point douter. Blonde, grande, mignonne... même si tu t'en fiche un peu, n'étant pas de ce bord. Mais tu te dis que ton frère l'aimerait sûrement.

Tu grogne intérieur et, un sourire forcé aux lèvres -t'as pas vraiment envie de parler, tu veux surtout regarder et écouter les sons alentours- tu lui réponds.

- Bonjour mam'zelle. Beau temps n'est-ce pas ?

Tu souris légèrement sans te forcer, cette fois. Tu aime ça, toi, parler du temps. Tu aime les paysages, les nuages, les formes... T'aime un peu moins les gens mais tu sais que ça vient obligatoirement avec. Tu hausse les épaules intérieurement en te disant de te taire et d'écouter la dame devant toi parler. Tu tourne les yeux deux minutes, ton regard ayant été attiré par un oiseau volant paisiblement au loin. Un air apaisé peigne tes traits et tu soupire de plaisir. Puis, tu remet ton attention sur l'autre devant toi. Tu dis l'autre mais c'est pas méchant, du moment que tu le dis pas tout haut. Et puis c'est vraiment l'autre, comme tu ne connais pas ton nom. Du coup, politesse oblige, tu te présente.

- Au fait, moi c'est Énora, enchantée.

Et tu souris, un léger rictus au coin des lèvres, mais bien présent. Tu hoche la tête et t'hésite à tendre la main, avant de finalement la lever et de la diriger vers l'autre femme. T'espère ne pas commettre d'erreur -après tout elle est peut-être phobique des microbes-. Puis, le regard vague, tu regarde les nuages, essayant de distinguer quelconques formes. Tu finis par le reposer sur ton interlocutrice, un sourire doux aux lèvres -t'y peux rien, les nuages ont cet effet sur toi-.
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Sofia Schleck
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Sofia Schleck



Ven 10 Juil - 16:49
Tu ne sais pas si la jeune femme a envie de te parler, elle semble être là assise bien tranquillement dans la contemplation de son univers, mais tu oses le pas vers elle, tu oses venir lui parler, parce que tu es comme ça aussi, tu es loin d'être la moins sociable du coin même si évidemment, il y a mieux que toi. Tu sens toutefois que tu déranges un peu, pas trop, juste ce qu'il faut pour que l'amorce du bonjour soit suffisante pour qu'elle daigne te répondre et peut être lancer un sujet de conversation assez classique, pour faire connaissance. Après tout, Apple Cove n'est pas une si grande ville, tout le monde se connait de loin, et bien que son physique soit un peu atypique, et qu'il ne te dise rien de véritable, tu as envie de faire un peu sa connaissance. Qui sait comment tout cela pourrait tourner après tout. Tout le monde a à l'esprit ce qui s'est produit en ville, ce meurtre alors peut être qu'il arrivera dans la conversation à un moment ou un autre. Alors elle te sourit un peu, pas trop, te saluant donc en retour avant de parler du beau temps. Il faut dire que c'est la saison alors tu lui souris en retour.

" C'est la belle saison qui arrive, alors le temps est souvent beau oui, c'est une certitude que voici. "

Même si parfois, il tourne à l'orage à cause de la chaleur, souvent le ciel n'est maculé que de quelques nuages, comme parsemé pour qu'il soit plus distrayant, ou pour que les nuages cache un soleil presque trop brûlant pour vos peaux. Ainsi, elle se présente, elle s'appelle donc Enora, c'est un joli prénom qui te semble ne pas faire partie de ceux que vous autres avez communément. Tu souris donc une fois encore.

" Moi c'est Sofia, enchantée également. "

Elle te tend la main et tu la saisies en guise de salutations plus complètes. Puis elle regarde dans le ciel, semble observer les nuages avant de se reconcentrer sur toi. C'est un peu étrange mais ça te fait sourire. Tu ne sais pas ce qu'elle va te dire de plus à propos de ça, mais quelques choses te dit qu'elle va t'en parler vu comme elle semble les regarder, presque avec envie dirais-tu.
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Énora Miller
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Dim 2 Aoû - 16:29
Ta tête tournée vers ta compagne de parlote, tu souris vaguement, attentive. Tu entends ce qu'elle dit, tu y porte toute ton attention, mais ton regard ne peut s'empêcher de naviguer au gré de ses envies. Petites perles insouciantes qui admirent le paysage autour d'elles. Ta envie de sourire, de danser... sauf que comme tu sais que personne veut entendre un concert de casserole, tu t'abstiens.

Tu souris doucement l'entendant parler. Elle a une voix légère, apaisante, qui te calme légèrement et tu reporte ton attention sur elle. Du beau temps, c'est vrai... mais tu sais que tel l'abîme de souffrance dont se gorge les déprimés, le temps peut soudain changer et devenir noir et pluvieux. Tu souffle intérieurement... t'aurais bien envie qu'il pleuve d'un coup. Tu jettes un regard plein d'espoir au ciel avant de faire la moue. Bleu, ciel clair et dégagé, même pas un sombre nuage à l'horizon. Ta moue s'accentue doucement alors que tu baisse le regard, déçue.

Ton amie de parlage se présente soudain. Elle a un jolie prénom, Sofia. Doux, poétique, tu aime la consonance et comment il résonne doucement autour de vous deux. Tu souris doucement, ravie et hoche la tête alors qu'elle te saisit fermement la main. Poignée de main ferme, ni tremblante ni moite... bonne impression.

Tu souris encore plus alors que, de la main, tu désigne un coin sous un des saules pleureur du parc.

- Voudriez-vous vous installer sous le saule pleureur et faire plus ample connaissance ? Vous me paressez bien sympathique et vous êtes la seule présence féminine à cinq kilomètre à la ronde. Ça me changerait de la testostérone de mes compagnons mâles.

Tu espère, en ton fort intérieur, qu'elle accepte, tu sais que ça pourrait être étrange qu'elle suive une inconnue... même si l'endroit est seulement à 2 pas d'elles.
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Sofia Schleck
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Sofia Schleck



Ven 7 Aoû - 12:50
Tu ne sais pas ce que cette rencontre peut donner. Mais tu n'as pas peur, pas maintenant, même pas avec ce qui a pu se passer. Tu en souris clairement, alors que tu lui saisis la main, fermement, sans trembler, tes mains étant sèches, comme pour elle finalement, comme si au fond, elle ne craignait rien de te croiser alors que peut être il faudrait avoir peur. Est ce qu'ici il n'y a qu'un seul psychopathe qui traîne dans les rues ? Tu ne sais pas, personne ne le sait à vrai dire, mais tu en souris, parce que tu ne te considères pas comme telle malgré certaines habitudes que l'on pourrait juger de douteuses. Mais tu l'observes, tu observes la nommée Enora, puis tu lui donnes ton prénom. Elle a un look particulier, une peau pleine de tatouages, mais elle ne te fait pas peur, pas encore, pas vraiment, parce qu'il en faut plus pour que tu partes au delà du danger justement. Tu ne saurais dire qui de vous deux est le plus grand danger pour l'autre. Tu caches bien ton jeu derrière ta blondeur presque naïve, ton sourire doux et rafraîchissant. Tu aurais pu continuer ta route, mais ta nouvelle amie d'un geste de la main te propose de faire plus ample connaissance sous un saule pleureur. Elle veut faire connaissance, car elle semble ne côtoyer que des hommes ce qui te fait sourire sur le moment. Elle exagère sans doute bien volontairement pour tenter de te convaincre plus facilement encore.

" Pourtant, il y a plein de jeunes femmes dans le coin, il n'est pas rare que j'en croise durant mes balades. Mais oui, faisons connaissance Enora. J'aime beaucoup vos tatouages, c'est vous qui les avez fait ? "

Peut être que non, car sur son propre corps c'est compliqué, mais sans doute qu'un de ses collègues tatoueurs les a fait pour elle, difficile à dire.
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Mar 8 Déc - 12:15
Tu souris doucement alors que l'autre femme te répond. Tu n'espérais pas une telle réponse et pourtant tu rigole en ton fort intérieur. Secouant doucement la tête, tu lui réponds doucement alors qu'un doux vent souffle sur vous.

- Il est rare que je puisse discuter avec les gens. Il est vrai que je croise souvent des femmes, mais cela fait quelques temps que je n'ai pas pu me poser pour discuter un peu avec quelqu'un.

Tu soupires doucement en te frottant l'arrête du nez. Socialiser comme ça te fait du bien, honnêtement. Ta voix, légèrement rauque du manque de parole, résonne doucement autour de vous alors que tu continue la conversation.

- Merci, je les aimes aussi beaucoup. Il est vrai que j'ai l'envie d'en avoir d'autres, mais mon tatoueur habituel s'est absenté alors...

Haussant les épaules, tu soupires alors que tu pense à Ian. T'as bien envie qu'il revienne de vacance, tu te ferais bien tatouer une colombe sur la hanche. Soupirant une nouvelle fois, tu tourne les yeux vers l'horizon, réponds doucement à sa question.

- Non, je n'ai pas le talent pour faire cela. Déjà que mon niveau en dessin n'est vraiment pas bon...

Tu ricane en disant cela et en repensant à tes derniers essais… même un enfant de dix ans ferait mieux que toi et t'en as bien conscience.

- Que faites-vous dans la vie, Sofia ? J'espère que ce n'est pas quelque chose de dangereux. Par les temps qui courent, disons que ce n'est pas réellement une bonne chose.

Tu souris doucement alors que tu tourne finalement les yeux vers elle. Tu te sais en relative sécurité. Ton métier t'ayant octroyé de bon réflexe, tu vois très bien qu'elle ne te veut aucun mal pour le moment alors tu te permet de te détendre totalement. Une douleur se réveillant dans ta jambe droite, tu t'installe finalement en tailleur par terre, étendant ta jambe devant toi. La massant doucement, tu garde néanmoins une oreille attentive vers ta compagne de discussion.
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Sofia Schleck
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Sofia Schleck



Jeu 17 Déc - 13:52
Les tatouages ce n'est pas trop ton truc, mais elle t'intrigue clairement, peut être pas pour les bonnes raisons, mais elle semble avoir envie de discuter et elle ne te fait pas vraiment peur alors pourquoi devrais-tu hésiter à lui parler après tout ? Il n'y a pas de raison à cela alors que pourtant, elle te dit que c'est rare qu'elle puisse discuter, peut être son look qui ne plait pas, qui ne passe pas bien, ça ne serait pas si étonnant que ça. Elle semble perplexe, elle se frotte le nez comme si elle avait donc oublier comment il fallait faire pour parler simplement avec quelqu'un ce qui te fait sourire car cette impression est peut être totalement fausse. Elle te dit alors qu'elle aimerait se faire d'autres tatouages mais que son tatoueur s'est absenté, comme s'il était parti pour une longue durée au vue de la non fin de phrase, c'est presque étrange. Est ce que l'ambiance pesante en ville en serait responsable ? Tu le penses, c'est possible après tout même si toi, personnellement, ça ne te touche pas trop. Alors, elle te dit qu'elle n'est pas très bonne en dessin, qu'elle ne sait pas faire ça et laisse une nouvelle fois sa phrase en suspens comme si c'était une évidence ou quelques choses comme ça. Elle en rigole cependant, et tu en souris donc. Tu te débrouilles bien en dessin, même si clairement tu ne serais pas capable de faire ce que tu peux voir sur son corps, quoique, avec de l'entraînement, pourquoi pas après tout.

" On ne peut pas tous être doué en dessin, je m'en sors bien je pense, faut dire que ça me sert bien. "

Et du coup, elle enchaine sur le travail, te demande ce que tu fais. Elle espère que ce n'est pas quelques choses de dangereux, ce qui t'intrigue. En quoi est ce que ça changerait les choses pour elle, pour toi ? Mais en soit, le métier ne l'est pas même si ce n'est pas si simple que ça évidemment.

" Je suis ébéniste, alors globalement, on ne peut pas dire que c'est très dangereux non et vous alors ? "

Tu lui renvois la question simplement alors qu'elle semble avoir comme une crampe à la jambe, qu'elle détend pour la faire passer.
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